ARRÊT DU Réseau RTC

Qu’est-ce que le RTC ?

Le téléphone et les bases du RTC ont été créés à la fin du XIXème siècle par Alexander Graham Bell dans le but de faire écouter des pièces de théâtre à distance.

Une liaison téléphonique élémentaire est constituée par :

• Deux dispositifs émetteur-récepteur appelés postes téléphoniques

• Une ligne bifilaire acheminant les signaux (paire torsadée)

• Une source d’énergie électrique (E). La tension continue nécessaire à l’alimentation des postes téléphoniques est fournie par une source installée au central téléphonique (batterie centrale).

Comment fonctionne le RTC ?

Le réseau RTC est avant tout un réseau.

Chaque opérateur a développé le sien et des interconnexions entre ces réseaux sont en place.

Sur le câble téléphonique, la tension hors appel est de 48 Volts en continu, beaucoup moins en téléphonant. Lorsqu’un correspondant vous appelle, le central téléphonique superpose un signal alternatif à 50 hertz de 75 V qui déclenche la sonnerie.

Comme l’indique la figure ci-dessus, les variations de pression atmosphérique provoquées par le son parviennent au microphone du combiné (transducteur de variations de pression en variations de tension) qui génère des tensions variables, lesquelles sont superposées à une composante continue d’environ 48 V.

À quoi sert le RTC ?

Historiquement ce réseau a été développé pour permettre aux usagers de pouvoir converser.
Avec le temps un certain nombre de cas d’usages sont apparus :

Voix 

Le RTC est connu pour son cas d’usage historique et le plus rependu. La téléphonie vocale. Mais ce n’est pas le seul cas d’usage. Le RTC est présent dans nos vies depuis des années et nous l’utilisons parfois sans même le savoir

Fax 

Pour l’émission et la réception de fax nous passions par la ligne téléphonique. Bien que de moins en moins utilisé au profit des emails, le fax est encore présent dans un bon nombre d’entreprises.

Il avait l’avantage d’avoir un accusé de réception ce qui validait la bonne transmission d’informations entres des entreprises.

Terminaux de paiement 

Pour régler en carte bancaire, les terminaux interrogent les banques des payeurs. Les terminaux sont pour beaucoup encore raccordés à la ligne téléphonique. Depuis quelques années des terminaux IP ou GSM on fait leur apparition chez les commerçants. Cela rend le terminal plus nomade.

Alarme télésurveillance 

Pour communiquer avec une station de télésurveillance, les centrales se raccordent sur le réseau téléphonique. C’est la méthode principale de transmissions des alarmes depuis plus de 40 ans.

Ascenseurs 

Tous les téléphones doivent être raccordés sur le réseau téléphonique afin de permettre aux usagers de transmettre une alarme en cas de blocage de l’ascenseur. C’est le vecteur de communication principal.

Machine à affranchir 

Beaucoup d’entreprise ont une machine permettant d’affranchir le courrier.
Ces machines sont reliées au téléphone afin d’envoyer aux services postaux les consommations quotidiennes et ainsi établir les factures correspondantes.

Télérelève 

Dans le monde de l’industrie ou du bâtiment, des valeurs doivent être collectées régulièrement et envoyées à différents services pour information, alertes, facturation, …

Toutes ces informations sont véhiculées par les lignes téléphoniques ?

Il existe des cas spécifiques qui ont été développés spécialement pour certains industriels et qui fonctionnent sur ce réseau téléphonique.

Beaucoup d’informations transitent à travers ce réseau. Ce qui peut varier c’est le volume de ses informations, leurs utilités, leurs sensibilités, mais il n’en reste pas moins qu’elles ont toutes le même vecteur de communication : le Réseau Téléphonique Commuté.

Quand va avoir lieu l’arrêt du RTC ?

Le 18 février 2016, Orange a annoncé l’arrêt du réseau historique de téléphonie (le RTC)

L’arrêt de la technologie RTC ne va pas se faire du jour au lendemain. Mais un planning a été défini. Il a connu quelques modifications dans les premiers temps. Maintenant que la décision est prise et que les différents opérateurs sont d’accord, aucun retour en arrière n’est envisageable.

D’après Delphine Gény-Stephann, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie, « L’État est le garant de ce service afin que chaque Français ait accès à un service téléphonique de qualité à un prix raisonnable, Néanmoins, rien n’oblige à ce que ce service utilise la technologie RTC, Orange est libre d’utiliser la technologie de son choix. ». ladepeche.fr du 26 août 2018.

Peut-t-on souscrire un abonnement au RTC ?

Non le calendrier suivant a été suivi pour l’arrêt de la commercialisation des offres.

 

Le 15 novembre 2018, Orange arrêtera la commercialisation de nouvelles lignes analogiques sur l’ensemble du territoire métropolitain. Il ne sera plus possible d’ouvrir de nouvelles lignes sur cette technologie mais les lignes existantes continueront à fonctionner ;

Le 15 novembre 2019, Orange arrêtera la commercialisation de nouvelles lignes numériques de base (ou « RNIS T0 ») sur l’ensemble de la métropole. Il ne sera plus possible d’ouvrir de nouvelles lignes sur cette technologie mais les lignes existantes continueront à fonctionner.

Le 15 novembre 2020, Orange arrêtera la commercialisation de nouvelles lignes analogiques sur l’ensemble des départements d’outremer ainsi qu’à Saint-Martin et à Saint-Barthélemy. Il ne sera plus possible d’ouvrir de nouvelles lignes sur cette technologie mais les lignes existantes continueront à fonctionner ;

Le 15 novembre 2021, Orange arrêtera la commercialisation de nouvelles lignes numériques de base (ou  » RNIS T0 « ) sur l’ensemble des départements d’outremer ainsi qu’à Saint-Martin et à Saint-Barthélemy. Il ne sera plus possible d’ouvrir de nouvelles lignes sur cette technologie mais les lignes existantes continueront à fonctionner.

Source ARCEP

Quand le RTC va-t-il s’arrêter ?

Une fermeture technique progressive : ensuite, Orange procédera à la fermeture technique effective de la technologie RTC à partir de fin 2023 et par plaques géographiques. L’Arcep lui impose d’annoncer au moins 5 ans à l’avance le périmètre géographique des plaques devant être fermées afin de donner le temps à l’ensemble des opérateurs et des utilisateurs de migrer leurs usages vers une autre technologie. Le 26 octobre 2018, Orange a annoncé les premières communes concernées par l’extinction de la technologie RTC, dont tous les usagers devront avoir migré au 26 octobre 2023.

Planning global

Pour résumer voici le programme d’arrêt de la technologie RTC communiqué par l’ARCEP.

 

Quel va être l’impact pour une entreprise ?

La France compte 4,7 M d’entreprises, dont 3,3 M d’entreprises sans salariés. L’Arcep comptabilise

9,4 M d’abonnements à la téléphonie fixe par les entreprises, soit 2 abonnements par entreprise en moyenne.

L’impact de ce changement n’est pas forcement important mais il doit être pris en compte.

Aucune précipitation mais une réflexion doit être faite.

Le marché va s’ouvrir et des technologies de substitutions vont émergées. Elles seront plus ou moins adaptées aux besoins.

Les professionnels ont parfois travaillé sur des solutions et qualifié ces solutions.

Les entreprises françaises sont, en matière de communication, plutôt conservatrices parce que hormis les grands comptes, la culture technologique est souvent absente, et parce que la téléphonie est considérée comme un poste de coûts, et non pas forcément comme un poste de profit ou de productivité.

L’arrêt du RTC constitue une opportunité pour les entreprises de reconsidérer leur système de communication, non simplement pour le passer en IP à fonctionnalités constantes, mais peut-être pour l’enrichir et l’étendre vers des communications unifiées.

Il faut, pour ce faire, que les entreprises soient fortement accompagnées et conseillées par leur interlocuteur télécom.

Espérons que ces interlocuteurs orienteront les professionnels vers la solution technique la plus adaptée et non vers la solution la plus lucrative pour les conseillers.

Quel va être l’impact pour les particuliers ?

Les particuliers vont subir le changement de technologie. Les grands opérateurs vont imposer aux particuliers leur offre de substitution. Nous savons déjà que les offres pour les particuliers ne vont pas permettre à certains usages de fonctionner.

Par exemple les services de transmission ne seront disponibles que pour les offres pros.

Quelles solutions de substitutions ?

Les opérateurs ont travaillé sur des solutions de substitutions.

La FFT (Fédération Française des Télécoms) a sollicité les différents secteurs d’activités pour analyser leurs besoins et faire en sorte que les opérateurs proposent des offres commerciales de substitution.

On peut constater que la solution proposée et simple : Le passage au TOUT IP.

Voici une synthèse des documents Arcep, FFT et Orange en rapport avec l’arrêt du RTC.

Quelles sont toutes les solutions ?

Il n’y a rarement qu’une solution à un problème.

L’évolution du matériel et des technologies font qu’il existe des substituts au réseau RTC.

Nous avons cartographié l’ensemble des solutions possibles.

IP

Internet protocol (protocole internet, abrégé en IP) est une famille de protocoles de communication de réseaux informatiques conçus pour être utilisés sur Internet. Les protocoles IP s’intègrent dans la suite des protocoles Internet et permettent un service d’adressage unique pour l’ensemble des terminaux connectés.

Cela permet aux périphériques de communiquer en respectant ce protocole

Trunck sip

Pour simplifier les choses il s’agit de la téléphonie sur IP. Le but étant de véhiculer de la voix sur le réseau Internet. Couramment appelé VoIP.

C’est la numérisation de la voix à l’inverse de la transmission analogique historique.

Cet ensemble est ce que l’on peut appeler un service de SIP trunking. Le terme « trunking » venant de l’anglais « tronc », il est une métaphore illustrant le fait que toutes les lignes se rejoignent en un point, le centrex, et continuent le long d’un grand canal : l’infrastructure du fournisseur.

GSM

Global System for Mobile Communications (GSM) (historiquement « Groupe spécial mobile »1) est une norme numérique de seconde génération pour la téléphonie mobile.

Tel qu’il a été conçu, le réseau GSM est idéal pour les communications de type « voix » (téléphonie). Le réseau étant commuté, les ressources ne sont allouées que pour la durée de la conversation, comme lors de l’utilisation de lignes téléphoniques fixes.

GPRS / 3G / 4G

Sous l’égide de l’organisation 3GPP la norme GSM a ensuite été étendue pour prendre en charge de plus hauts débits et le transport de données en mode « paquet » par les extensions GPRS (General Packet Radio Services) puis EDGE (Enhanced Data rates for GSM Evolution).

La 3G, la 4G et bientôt la 5G permettent d’envoyer des paquets encore plus gros et encore plus rapidement. C’est de IP via réseau GSM.

IOT

C’est l’internet des objets (en anglais Internet of Things, ou IoT) est l’interconnexion entre Internet et des objets, des lieux et des environnements physiques.

Ce n’est plus un ensemble qui communique mais chaque objet. La quantité d’information devient importante et doit être centralisée avant d’être exploitée.

Il n’est parfois pas utile d’avoir beaucoup de débit pour envoyer un message.

Les petits messages peuvent eux être envoyé via des réseaux de type Sigfox sur des distances importantes et en toute sécurité.

Comment choisir la solution de remplacement en fonction du cas d’usage ?

Des alternatives existent bien. Chacune avec ses avantages et inconvénients.

Pour chaque cas d’usage nous avons identifié des solutions alternatives. Nous avons pour chaque solution pointé les inconvénients ou point de contrôle obligatoire avant déploiement.

Voix sur IP

La force du réseau RTC est qu’il est auto alimentée.

La faiblesse des solutions de substitution est qu’il ne l’est pas.

Il faut donc prévoir de secourir l’alimentation de la boxe que l’on met en place. Il faut donc prévoir une maintenance et des contrôles réguliers de cette nouvelle source d’alimentation.

Ce point est à ajouter dans le tarif de la solution de substitution.

Ce point est bien expliqué par la FFT. Et elle précise bien que « L’opérateur est seulement responsable de la mise en place des moyens nécessaires au bon fonctionnement du réseau et du service jusqu’au point de terminaison de l’infrastructure physique »

Problématique : la transmission VoIP ne fonctionne plus si la box n’est pas alimentée en courant électrique.

Les opérateurs fournisseurs de services de communications électroniques ne sont contraints par aucune obligation réglementaire en termes de télé-alimentation. Il n’existe pas d’obligation liée à une quelconque alimentation électrique dans les services fournis. L’opérateur est seulement responsable de la mise en place des moyens nécessaires au bon fonctionnement du réseau et du service jusqu’au point de terminaison de l’infrastructure physique. Le fait que certains services sur la technologie RTC présentent l’avantage de fonctionner indépendamment du réseau électrique n’est donc en rien lié à une obligation réglementaire, mais seulement une contrepartie technique.

Autrement dit, le problème n’est pas technique ou réglementaire mais plutôt d’ordre commercial.

Il s’agit donc de savoir qui, dans la chaine d’acteurs, fournit l’équipement onduleur/batterie et en assure l’entretien. Source livre blanc FFT

La FCC insiste sur le devoir d’information des opérateurs auprès de leurs clients concernant les risques d’interruption de service dans le cas de solutions de communication non auto-alimentées. L’opérateur doit également informer ses clients sur les options d’achat de solutions d’alimentation secourue directement ou auprès de fournisseurs tiers, et de leurs conditions d’utilisation et de maintenance. Source livre blanc FFT

Les codecs sont à respecter.

Le fait de passer la voix en IP, il y a une modification du signal. Il faut donc un codec qui respecte le plus le standard du RTC. Pour une transmission d’alarme, il faut du G711 et une boxe compatible DTMF rapide.

Ce point est important. Peu de cas d’usage utilise le DTMF rapide donc peu de boxes seront compatibles avec le DTMF rapide. La FFT explique bien que dans certains cas les données reçues seront mal interprétées dans le cas de transmission d’alarme.

Il faut donc une offre compatible.

A l’heure actuelle et il semble que cela ne va pas être modifié, seules les offres professionnelles seront capables de paramétrer un port pour de la transmission en DTMF rapide.

Attention aux mises a jours.

Les opérateurs peuvent et font des mises à jour régulières de leurs boxes. Durant ces mises à jour, le service est interrompu. Il faut en tenir compte surtout quand ces mises à jour sont majoritairement la nuit et que la transmission d’alarme repose sur ce type de transmission.

Couverture

2 cas de figure, les zones blanches et les zones de sur occupation.

Dans le cas de la zone blanche il n’y a rien à faire.

La couverture réseau est un vrai sujet. L’occupation du réseau GSM ne permet pas de téléphoner. En effet le nombre d’usagé accroché à une même antenne Gsm est trop important.

Comment faire si j’ai besoin d’une ligne dédiée pour un ERP par exemple ?

Les établissements recevant du public (ERP) disposent actuellement d’une ligne téléphonique, souvent reliée à un terminal spécifique, pour contacter automatiquement les pompiers en cas d’incendie.

Avant janvier 2017, le règlement de sécurité prévoyait que l’alerte d’un service public de secours et de lutte contre l’incendie soit assuré par « téléphone urbain fixe » (recours au téléphone analogique).

Depuis le 24 janvier 2017, le Ministère de l’Intérieur a officiellement autorisé le téléphone de secours en voix sur IP, « sous réserve de la continuité de service téléphonique en cas de coupure électrique»1. Un onduleur ou une batterie est donc nécessaire.

La Ligne Fixe Business répond aux exigences de sécurité des ERP.

(1) Note d’information du Ministère de l’Intérieur

Il existe des lignes dédiées dans certains bâtiments. Ces lignes doivent être ouvertes vers l’extérieur pour envoyer au plus vite une alerte.

La solution voix sur IP est préconisée mais quid si l’alimentation électrique est coupée ou la boxe désynchronisée ou qu’une mise à jour de la boxe se produit ?

Il semble qu’une solution automne devrait être couplée en secours.

En cette période de déploiement des PPMS, il faut s’assurer que les moyens de communications soient le plus fiable possible.

Le mélange de 2 technologies reste donc une solution envisageable et la plus fiable.

Comment faire pour mon alarme sans avoir à tout changer ?

Selon le CNPP il y a plus 92 stations de télésurveillance certifiées en France. Toutes ces stations de télésurveillance utilisent la technologie RTC pour recevoir les alarmes de leurs clients.  On dénombre près de 2 millions de clients en télésurveillances en France.

Les organisations comme l’ADMS ou le GPMSE estiment qu’il y a 80% du parc raccordé en RTC et 20% en IP. Les centrales raccordées en IP sont récentes et embarquent théoriquement un secours GSM.

La technicité des produits et la règlementation se sont appuyées sur le réseau RTC depuis sa création.

Les centrales communiquent en DTMF sur des protocoles spécifiques comme le Contact ID, le SIA ou le CESA. Les centrales envoient des autotests à intervalles réguliers pour contrôler le bon fonctionnement de la ligne téléphonique.

Elles communiquent via des numéros SVA qui sont source de revenu mais surtout qui permettent de rediriger les appels en cas de défaillance de la station de télésurveillance principale.

Le passage en IP pose plusieurs problèmes :

  • Le parc ancien n’est pas compatible avec la transmission en ip directement
  • La transmission via de la téléphonie sur IP fonctionne pour de la voix mais difficilement pour de la transmission d’alarme en DTMF.
  • Raccorder une alarme derrière une boxe pose des problèmes de sécurité. La boxe peut être débranchée simplement. En alarmes les dispositifs doivent être auto-protégés.
  • En cas de coupure de courant plus de transmission téléphonique
  • En cas de perte de synchronisation ou reboot ou de mise à jour de la boxe les transmissions ne sont plus assurées. La continuité de service n’est donc pas assurée.
  • Seul le codec G711 est capable de véhiculer les informations d’alarmes à travers une boxe ADSL.

Les télésurveilleur en passant en IP rencontre des problèmes pour secourir les transmissions d’alarmes et perde une part de leurs revenus.

Les opérateurs ont sorti des offres dédiées pour ces cas d’usages. Avec un port paramétrable afin de le rendre compatible avec le transmetteur d’alarmes.

« Il faut toutefois des bancs de test en laboratoire pour valider les résultats. » (LUC HALLION, Azur Soft)

La solution MutaKom vient en substitution de la ligne téléphonique.

Par simple raccordement d’un boitier en lieu et place de la ligne téléphonique, nous transmettons les informations vers une station de télésurveillance.

Simple à câbler, aucun paramétrage n’est nécessaire.

Il suffit d’enregistrer le boitier sur le réseau en remplissant quelques informations.

MutaKom apporte une solution propre d’un point de vue environnemental. 
En effet, le matériel en place qui est encore fonctionnel n’a pas besoin d’être remplacé et jeté.

Cette solution permet aussi de secourir les transmission IP.

En cas de coupure, de perte de l’alimentation, de mise a jour de la boxe,…. Nous assurons la transmission via le secours MutaKom.

La SOLUTION à l’arrêt du RTC


Découvrez le boitier Mutakom Alarme

Le boitier MutaKom est conçu pour se raccorder sur tout type de centrale d’alarme équipé d’un transmetteur RTC.
Il fonctionne sur la plate-forme Sigfox IoT dans la gamme de fréquences de 868 MHz.